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Il y a 100 ans....

Le 5 février 1920, Josefa Menendez, à 30 ans, entre dans la Société du Sacré-Coeur...

Vous comprendrez que nous ne pouvons passer sous silence l’entrée de cette jeune espagnole, "chez nous" il y a exactement un siècle ! Personne ne pouvait imaginer ce qui allait se passer bientôt, dans le silence, il est vrai...
Quel merveilleux message reçut-elle et quel bien fait-il depuis, dans le monde entier !
Et aussi quelles grâce et responsabilité pour la Société des Religieuses du Sacré-Coeur, à qui Jésus a confié son Message !
Sans doute Sr Josefa a-t-elle été davantage appelée à ’aider Jésus’, tel que le suggère cette icône de Pierre recevant de Jésus la clef de l’Eglise universelle...
Notre baptème nous investit de ce rôle également, chacun selon son appel..
Et tout au long de ce Message, nous ne cesserons d’entendre cette parole : "Toi, aide-moi, dans mon Oeuvre d’Amour !"



Sr Marie Guyonne et Sr Eliane (de Poitiers) nous rappelleront - au fil des quatre années centenaires, les événements marquants de sa vie, événements plus intérieurs qu’extérieurs, connus grâce aux écrits de Josefa elle-même.

Chers Sœurs et chers Amis,

"Dans quelques mois, ( lettre datée d’octobre 19) nous entrerons dans les « 100 ans » de la vie religieuse de sœur Josefa Menéndez, religieuse du Sacré-Cœur, de 1920 à 1923.

Nous avons pensé relater, au fil du temps, quelques moments importants de sa vie et du Message qu’elle devait transmettre, et ceci, le plus possible, à partir du livre "UN APPEL A L’AMOUR".

Merci de nous faire connaître vos suggestions."

IL Y A CENT ANS ...... (1)



On était en 1919, Josefa avait vingt-neuf ans.
Elle comprit, par un secret appel, que l’heure de Dieu était venue et résolut de solliciter encore une fois au Sacré-Cœur une admission qu’elle n’osait plus espérer (car elle avait plusieurs fois reculé devant les pleurs de sa mère).
Le 27 juillet 1919, elle fit humblement cette démarche. Mais - écrit-elle dans ses notes - la réponse fut négative !
« Au fond de mon âme cependant, j’entendais la voix de Jésus qui me disait : « Insiste, confie-toi en Moi qui suis ton Dieu. »
Son insistance ne fléchit pas la décision que ses hésitations précédentes semblaient rendre irrévocable….
(Un Appel à l’Amour, page 19)

IL Y A CENT ANS AUJOURD’HUI (2)



19 novembre 1919
« Ce jour-là, dans ma communion — dit Josefa — je Le suppliai par son Sang et par ses Plaies, de m’ouvrir cette porte de la Société que moi-même j’avais fermée :
« Ouvrez-la, mon Jésus, je Vous en supplie, car Vous savez bien
que je ne demande autre chose que d’être l’épouse
de votre divin Cœur »

« L’heure avait sonné. Ce matin-là, comme de coutume, elle se rendit au Sacré-Cœur de Chamartin (Espagne) pour y chercher du travail. On l’attendait : une lettre de Poitiers venait d’arriver. On demandait pour le Noviciat à peine fondé, quelques vocations sûres.
Josefa se sentait-elle le courage de solliciter en France cette admission tant désirée ?… Sans hésiter, elle répondit le « oui » le plus généreux et, à l’instant même, elle écrivit pour s’offrir…..
« Un Appel à l’Amour », page 20

Les Feuillants - Poitiers



IL Y A CENT ANS AUJOURD’HUI (3)



4 et 5 février 1920
Le 4 février 1920, Josefa quittait pour toujours sa patrie. Et le 5 février, mère Vivier venait la chercher à Bordeaux pour arriver aux Feuillants où elle allait commencer le jour même de son anniversaire de 30 ans, sa vie religieuse.
( Un appel à l’Amour, page 20)
« ya no tenia ni fuerzas, ni dinero, ni creo, que Amor, en ese momento. Pero ya estoy en el Sagrado Corazón y yo siempre la misma muy flaca pero mi Jesús siempre sosteniéndome. »

IL Y A CENT ANS AUJOURD’HUI (4)



Mes yeux, mes pauvres yeux…..

Josefa est à Poitiers, aux Feuillants, depuis le 5 février 1920. Anniversaire de ses 30 ans.
Au bout de quelques jours, un violent désir de revenir en Espagne la poursuit jour et nuit. La responsable du noviciat, mère de Girval, connait bien la langue espagnole et ’l’aide, jour après jour, à tenir sa décision.
Après tous ces jours et nuits de lutte contre ce désir de partir :

Le 5 juin 1920 « enveloppée dans un sommeil très doux », elle se réveille dans la blessure du Cœur divin « Je ne puis expliquer ce qui se passa…
"Jésus je ne vous demande rien d’autre que de vous aimer et d’être fidèle à ma vocation ».
Puis, le 29 juin 1920, « … un peu avant l’élévation de la Sainte Hostie, mes yeux… ces pauvres yeux !… ont vu mon Bien-Aimé Jésus, l’unique désir de mon âme ; mon Seigneur et mon Dieu ! Son Cœur au milieu d’une flamme très grande !.
Je ne puis dire ce qui s’est passé, car c’est impossible !… Mais je voudrais que le monde entier connaisse le secret du bonheur. Il n’y a autre chose à faire qu’à aimer et s’abandonner,
Jésus se charge du reste.

IL Y A CENT ANS AUJOURD’HUI (5)



Ce jour, 16 juillet 1920, JOSEFA prend l’habit des Religieuses du Sacré-Cœur et commence les deux ans de noviciat avant de prononcer des vœux.

Elle écrit : Jésus me fit entrer dans sa divine Plaie.
Je lui redisais :
"Mon Dieu ! Mon époux, je veux être toujours vôtre ! Je veux vous aimer…
Quelle consolation et quelle paix Il m’a données ! Mon âme débordait de félicité.

IL Y A CENT ANS AUJOURD’HUI (6)


Le 8 octobre 1920 Josefa s’offre d’une manière irrévocable.
C’est vers la fin d’août 1920 que, pour éprouver l’esprit qui conduit Josefa, toute communication lui est interdite avec ‘l’apparition ‘. Ses supérieures cherchent la vérité..
Une intervention de la Très Sainte Vierge confirme la lumière qui s’est faite peu à peu autour d’elle : son obéissance simple et courageuse, son indifférence et son abandon en même temps que l’humble défiance d’elle‑même..... : n’est‑ce pas le signe de Dieu ?
Elle reçoit alors la permission de « s’offrir ».
Elle écrit : « Le vendredi 8 octobre, à l’oraison, je fis un acte de remise à la Volonté divine. Je suis décidée à tout accepter pour glorifier le Cœur de Jésus, Le consoler et Lui gagner des âmes.
Le soir de ce même jour, … Josefa se voit soudain en présence de Notre‑ Seigneur.
« …... Je me suis offerte de nouveau, Lui promettant de ne plus retourner en arrière. Il a posé sa Main sur ma tête et m’a dit :
« Si tu ne M’abandonnes pas, Moi non plus, Je ne te laisserai pas. Désormais, Josefa, ne M’appelle plus que Père et Époux. Si tu M’es fidèle, nous ferons cette divine alliance : Tu es mon Épouse, Je suis ton Époux."
« Et maintenant, écris ce que tu lis dans mon Cœur, c’est le résumé de ce que Je veux de toi. »
« Alors, je lus : « Je serai l’unique amour de ton cœur, le doux supplice de ton âme, l’agréable martyre de ton corps. Tu seras victime de mon Cœur, par un amer dégoût de tout ce qui n’est pas Moi ; victime de mon âme, par toutes les angoisses dont la tienne est capable ; victime de mon Corps, par l’éloignement de tout ce qui peut satisfaire le tien...  »
« Quand j’achevai la lecture, Jésus me fit baiser le livre et Il disparut. »

IL Y A CENT ANS AUJOURD’HUI (7) -


13 Octobre 1920
« Le jour suivant à l’Oraison, une autre fois, je Le vis, mais soutenant le Cœur avec Ses Mains. Il me dit :
«  Regarde ! Je te donne à choisir la vie que tu me demandes, simple selon ton désir ou celle que, Moi, je te prépare selon ma Volonté !  »
Seigneur, lui répondis-je, je n’ose rien dire, mais si la Mère le veut, je ne veux rien que ce que Vous voulez, c’est à dire votre Sainte Volonté, l’unique chose que je Vous demande avec tout mon cœur est que vous me souteniez, car Vous savez bien comme je suis ! et dès maintenant, je Vous supplie mon Dieu ! que même si 1000 fois je vous dis le contraire, vous ne m’écoutiez pas car ma volonté, c’est cela.
«  Des deux manières tu me plais. Maintenant tu peux choisir .
Mais tu me donneras plus de gloire dans le chemin que Moi je te prépare »

Ce même jour à l’Adoration, je Le vis et sans qu’Il me demande rien, je m’offris de nouveau….

Texte dans "LA VIE DE JOSEFA MENENDEZ " 1929- page 73

IL Y A CENT ANS AUJOURD’HUI (8)


7 décembre 1920

"Je veux que tu m’aides par ta petitesse et ta misère
à arracher les âmes que l’ennemi veut dévorer"

Puis, le 24 décembre 1920 :
"Je ne demande qu’une chose : amour et abandon.

Je veux que tu sois comme un vase vide que je me chargerai de remplir.
Laisse ton créateur se charger de sa créature !"

C’est aussi durant ce mois de décembre 1920 que Josefa verra Marie avec l’Enfant Jésus.

IL Y A CENT ANS AUJOURD’HUI (9)


9 janvier 1921
Le message le plus important semble bien être le passage des « Trois clés »
Tandis que Josefa prie devant le tabernacle, Jésus lui apparaît, ’tenant en sa main droite ‑ écrit‑elle ‑ une petite chaîne de brillants qui soutenait trois clefs toutes petites, dorées et très jolies ’.
« ‑ Regarde : une... deux... trois... elles sont en or. Sais‑tu ce que représentent ces clefs ?... Chacune d’elles garde un trésor dont Je veux que tu t’empares.
« Le premier de ces trésors est un grand abandon à tout ce que Je te demanderai .......... Tu répareras ainsi les péchés de tant d’âmes qui doutent de mon Amour.
« Le second de ces trésors est une profonde humilité qui consistera à reconnaître que tu n’es rien, à t’abaisser .... Ainsi, tu répareras l’orgueil de beaucoup d’âmes.
« Le troisième est le trésor d’une grande mortification dans tes paroles et dans tes actions.......... Ainsi, tu répareras l’immortification d’un grand nombre d’âmes et tu Me consoleras ........
« Enfin, la petite chaîne qui soutient ces trois clefs, c’est un amour ardent et généreux qui t’aidera à vivre abandonnée et livrée, humble et mortifiée. »
Quel souvenir ineffaçable Josefa gardera toujours de ces petites clefs symboliques !

Un Appel à l’Amour- Ch. III- "A l’école du Coeur de Jésus- L’Appel des Ames : 19/12/20-26/01/21

IL Y A CENT ANS AUJOURD’HUI (10)


4 Mars et 11 Mars 1921
Jésus appelle de plus en plus Josefa à la Petitesse et à l’Abandon.
«  N’oublie pas que ta petitesse et ton rien sont l’aliment qui attire sur toi mon regard  »
Le 4 Mars 1921, Josefa est au jardin, cueillant quelques fleurs pour la petite chapelle dont elle est sacristine.Tout à coup, elle se sent violemment poussée et tombe sur un châssis en verre qui se brise sous son poids. Un flot de sang jaillit de son bras droit profondément blessé. Les soins immédiats arrêtent peu à peu l’hémorragie. Mais le bras restera immobilisé plusieurs jours.
Plus tard, le vendredi 11 mars : la Sainte Vierge lui dit :
« Si le démon avait pu te tuer, il l’aurait fait mais il n’en a pas la puissance ! »

Un Appel à l’Amour- Ch. III- "A l’école du Coeur de Jésus- Les desseins de l’Amour : 04/03/21

IL Y A CENT ANS ........... (11)


Mois de Mai 1921

Que s’est-il passé dans la vie de sœur Josefa au cours de ce mois ?
Ce mois est résumé entre les pages 107 et 111. Donc en peu de pages…
On peut cependant relever quelques éléments importants. Josefa est très découragée et voudrait retrouver « une vie ordinaire ». Alors, elle décide de jeter le cahier où elle écrit chaque jour, pour obéir à sa supérieure, les éléments importants de sa relation à Jésus-Christ. Mais, à peine jeté, elle en ressent un grand remords… Heureusement, celui-ci ne sera pas brûlé ! Marie veillait... Josefa le retrouvera donc et continuera à y noter, par obéissance, les interventions du Seigneur dans le quotidien de sa vie !

IL Y A CENT ANS AUJOURD’HUI (12)


25 Mai 1921

Aujourd’hui, en 2021, nous fêtons Sainte Madeleine-Sophie Barat. Mais il est bien de rappeler que sa canonisation a eu lieu en 1925 et sa mort le 25 mai 1865, cette année-là, jour de l’Ascension !
Ce 25 mai 1921, Sœur Josefa reçoit le premier message de Madeleine-Sophie dans sa cellule aux Feuillants. Elle écrit :
« Soudain, je vis une Mère inconnue… Elle me dit :
Ma Fille, dépose toutes tes misères dans le Cœur de Jésus ;
Aime le Cœur de Jésus ;
Repose dans le Cœur de Jésus ;
Sois fidèle au Cœur de Jésus »

IL Y A CENT ANS AUJOURD’HUI (13)


3 juin 2021
Sœur Josefa a reçu cette demande du Cœur aimant de Jésus
« Tous les jours répète ces paroles :
_ "Jesus mio ! Par votre Cœur très aimant, je Vous en supplie, enflammez du zèle de votre Amour et de votre Gloire, tous les prêtres du monde, tous les missionnaires, toutes les personnes chargées de prêcher votre Divine Parole, afin que, incendiés de votre Saint Zèle, ils sauvent les âmes et les conduisent à l’Asile de Votre Cœur, où elles vous glorifieront sans cesse !"

‘Un appel à l’Amour » page 117

IL Y A CENT ANS AUJOURD’HUI (14)


19 février 1922
Ce dimanche après l’élévation, Jésus lui montre ses Plaies rayonnantes de lumière.
« - C’est ici que J’attire mes âmes, afin de les purifier et de les embraser dans le courant de l’Amour ! C’est ici qu’elles trouvent la véritable paix et c’est d’elles que J’attends la vraie consolation. »
Je Lui ai demandé comment Le consoler, alors que nous sommes si pleines de misères et de faiblesses ! Il répondit en me montrant son Cœur :
« - Peu M’importe, pourvu que les âmes viennent ici avec amour et confiance. Je supplée à leur fragilité. »

IL Y A CENT ANS AUJOURD’HUI (15)


9 JUILLET 1922
Il y a 100 ans, huit jours avant le 16 juillet, Josefa entre dans le silence de sa Retraite préparatoire à ses premiers voeux.
"Je Vous le redis, Seigneur, jamais je ne me séparerai de Vous. Je Vous suivrai là où Vous me conduirez"
« Ce jour, que j’ai appelé moi-même avec tant d’enthousiasme, est arrivé maintenant et quelle glace dans mon cœur ! ..... Je me laisserai donc conduire .... Je suis sûre que, même dans la plus grande obscurité, Il prépare mon âme pour l’unir à Lui. »
Un Appel à l’Amour- Ch. VI- : LE TRIOMPHE DE L’AMOUR
* L’AURORE DES VŒUX : 8 - 16 juillet 1922

IL Y A CENT ANS AUJOURD’HUI (16)



16 JUILLET 1922 - PREMIERS VOEUX
Josefa notera, pour n’en jamais perdre le souvenir, ce qu’il a plu à ‘Mon Seigneur’ de faire pour elle.
"...Vint le moment de lire, avec quelle émotion et quelle joie, la formule des Vœux. Puis je communiai.... Alors, je vis Jésus tellement beau ! Son Cœur tout embrasé, sa Plaie grande ouverte, il en sortit comme une force qui m’attira à Lui, me fit entrer jusqu’au fond et je me trouvai perdue dans ce Cœur ! »
« - Maintenant, Je suis content - dit-Il - car je te tiens emprisonnée dans mon Cœur. De toute éternité, Je suis à toi ; désormais, tu es à Moi pour toujours ! Tu travailleras pour Moi. Je travaillerai pour toi. Tes intérêts sont les Miens, mes Intérêts sont les tiens. Vois comme Je t’ai été Fidèle !
« Et maintenant, Je vais commencer mon OEUVRE. »

Un Appel à l’Amour- Chapître VI - L’OFFRANDE - 16 juillet 1922

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6 août 1922 - ANNONCE EXPLICITE DE L’OEUVRE D’AMOUR
Ce dimanche est une date mémorable dans l’histoire de Josefa, car elle ouvre les perspectives de l’OEUVRE qui l’attend.
Le Maître divin, qui ne peut agir qu’à travers le rien de ses Instruments, veut auparavant lui souligner encore cette exigence de son Cœur.
Elle écrit : « Après la communion, Notre‑Seigneur est venu très beau. Son Cœur était dilaté et sa Blessure largement ouverte.
Il me regarda d’abord, puis, avec une grande compassion, Il dit :
« ‑ Misère ! Rien !... Voilà ton nom... Petite, c’est être encore quelque chose, et toi, Josefa, tu n’es rien ! »
Il disait cela avec tant d’amour que mon âme s’ouvrit à Lui tout simplement : oui, c’est vrai, Seigneur, que je ne suis rien. Je voudrais être moins encore, car le rien ne Vous résiste pas et ne Vous offense pas, puisqu’il n’existe pas, et moi, je Vous résiste... je Vous offense. »
_ Josefa, es-tu bien convaincue de ton rien ?... Désormais, les Paroles que Je te dis ne s’effaceront jamais ! »
« Je Lui ai répondu combien j’ai peur qu’Il mette en mes mains son OEUVRE D’AMOUR, car je suis capable du pire, malgré mes bons désirs.
_ « De son Cœur jaillit alors un feu qui m’embrasa. »
_ « ‑ Commence mon OEUVRE attachée à la main de ma Mère ! N’est‑ce pas assez pour te donner courage ? »
Alors, après un moment de silence solennel, Jésus prononce des mots d’une extrême importance :
« ‑ ….. mon Cœur veut se servir de vils instruments pour faire l’OEUVRE la plus grande de son Amour.
……. Quand tu écriras, Je te dirai tout. Aucune de mes Paroles ne se perdra. Rien de ce que Je te dis ne s’effacera jamais.
Peu importe que tu sois à ce point petite et misérable. C’est Moi qui ferai tout.
« Je ferai connaître que mon OEUVRE repose sur le néant et la misère, et que c’est là le premier anneau de cette chaîne d’amour que Je prépare aux âmes de toute éternité. Je me servirai de toi pour montrer que J’aime la misère, la petitesse et le rien".