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LA CHAINE D’ÂMES : FEVRIER 2024



"Je suis dans le livre de Josefa, et tu m’as tout de suite reconnu !" Jésus à Maria Valtorta, 28 janvier 1949.

"Le Signe Je le donnerai en toi"
(Notre-Seigneur à Josefa, 20 septembre 1920)

"En ce temps-là, les pharisiens survinrent et se mirent à discuter avec Jésus ; pour le mettre à l’épreuve, ils cherchaient à obtenir de lui un signe venant du ciel. Jésus soupira au plus profond de lui-même et dit : « Pourquoi cette génération cherche-t-elle un signe ? Amen, je vous le déclare : aucun signe ne sera donné à cette génération. » Puis il les quitta, remonta en barque, et il partit vers l’autre rive.
Saint Marc décrit ici l’attitude des pharisiens face à Jésus qui vient de multiplier les pains permettant de rassasier 5 000 hommes avec uniquement cinq pains et deux poissons." (ch 8, 11-13).

Dans le chapitre l’Epreuve du doute (26 août -8 octobre 1920), d’Un Appel à l’Amour : le 25 août Josefa n’a plus la permission de ses Supérieures de parler et d’écouter Notre Seigneur. « Mais à partir d’aujourd’hui, on m’a ordonné de ne plus faire cas de ces choses et de ne plus répondre à rien »
Sœur Josefa est paralysée entre l’obéissance, ainsi que son désir d’une vie religieuse humble et cachée, et l’élan de son âme qui la porte vers l’amour du Seigneur.
Le 20 septembre, Josefa toujours anxieuse supplie le Seigneur de donner un signe à ses Supérieures afin qu’elles sachent si toutes ces choses sont de Lui ou non. Jésus lui apparaît tout à coup et lui dit : « Le signe, Je le donnerai en toi. Ce que Je veux, c’est que tu t’abandonnes à Moi. »
Dans l’Épreuve du doute, Notre Seigneur s’emploie à rassurer Josefa avec « Ne crains rien ».
Mais la grande leçon de la fin de L’Épreuve du doute est l’intervention de la Très Sainte Vierge, pour la première fois auprès de Sœur Josefa.

« Ma fille, tu n’es pas trompée. Ta Mère le connaîtra bientôt... »

Dès le 5 octobre 1920, la TS Vierge conforte Josefa dans sa mission :
« Si tu refuses de faire la Volonté de mon Fils, c’est toi qui blesseras son Cœur. Accepte tout ce qu’Il te demande... » ("Faites tout ce qu’il vous dira." dira-t-elle aux serviteurs à Cana)

L’aide de la TS Vierge est primordiale pour notre époque en complète perdition. Prions-la sans cesse !
L’épreuve du doute va se terminer aussi avec la relation avec Marguerite-Marie Alacoque, établie par Jésus le 8 octobre 1920 pour rassurer les Supérieures de Sœur Josefa.

Mais pour notre époque, cette intervention de Notre Seigneur et de sa Très Sainte Mère est-elle suffisante pour emporter notre complète adhésion au Message du Sacré-Cœur à Sr Josefa Menéndez.
Comment devrions-nous aborder la lecture d’Un Appel à l’Amour ? Nous avons récemment découvert un feuillet qui est un Guide de lecture qui a été conçu par la Mère Christiane de Galard. Ce guide donne le cheminement pour expliciter les points qui posent question.
Il conviendra d’adapter la pagination avec la dernière édition.

Dans les Carnets des entretiens de Jésus à Maria Valtorta, le Seigneur lui présente Josefa en précisant que c’est Lui qui parle dans Un Appel à l’Amour.

Jésus dit [à Maria Valtorta] :
“Tu pourras encore me retrouver, moi le Jésus réel, Maître ou Martyr, dans les pages des rares âmes auxquelles je me suis moi-même révélé sous mon apparence de Maître et dans mon rôle de Martyr. Dans ces pages-là, tu me reconnaîtras encore. Tu m’as même déjà reconnu, sans te tromper, dans le livre de Josefa [Menéndez] : je m’y trouve vraiment, tel que je suis dans les pages que tu as écrites en cinq années.
[...] Je suis dans le livre de Josefa, et tu m’y as tout de suite senti.
[...] Je n’ai qu’un style. Je peux amplifier mes paroles pour faire une œuvre complète comme celle que je t’ai donnée, ou les réduire comme pour Josefa, mais on me reconnaît.
[...] Souviens-toi : je suis en Josefa comme en toi.”

Pour rendre compréhensible cette dictée, [Maria Valtorta] note :
“Le 22 janvier, Giovanni Chessa m’a apporté des livres de vies de saints à distribuer à des âmes désireuses de bonnes lectures. Il l’a fait à d’autres reprises, et ces vieux livres m’ont servi à faire du bien à diverses personnes. Je les distribuais sans les lire.
Cette fois, il m’a apporté le livre “Un appel à l’amour” (Ecrits de sœur M. Josefa Menéndez). Il y a longtemps que je désirais lire ces écrits, depuis qu’on m’avait envoyé par hasard une petite image de la religieuse espagnole. Mais je m’étais toujours interdit de rechercher le livre, puisque Jésus m’avait défendu de lire des ouvrages de révélations, ou du même genre : il disait que lui seul voulait m’instruire.
Avec le livre de sœur Josefa, qui s’orne d’une préface de celui qui était alors le Cardinal Eugenio Pacelli (1938), Chessa m’apporte “Les révélations d’Anne-Catherine Emmerich”. Je me dis : « Cette fois, je veux le lire ! J’en entends toujours parler ! Voyons un peu ! »
Jésus m’apparaît alors, et me dit : « Lis, lis donc ! Mais commence par celui-ci.  » Il m’indique le livre de sœur Josefa. Son sourire me surprend... Il n’est pas comme d’habitude. On dirait presque qu’il me taquine. J’obéis.
Dans les écrits de l’Espagnole, je sens mon Jésus. Je le retrouve pleinement, à la fois dans les leçons et dans les descriptions de la Passion.
Il est certain que je vais garder pour moi le livre de sœur Josefa, car j’y retrouve mon Jésus.” (1)
“Que de points communs avec sœur Josefa ! Et comme on entend que c’est bien Jésus qui parle ! Quelle concomitance entre la description de la Passion, et la Passion qu’il m’a été donné de voir !” (2)
“J’ai lu et relu les écrits de sœur Josefa et j’ai annoté de petites croix les passages où j’ai retrouvé des phrases identiques à celles que j’ai reçues. Mais j’aurais dû tout annoter, car la doctrine qui s’y trouve est la même que celle qui m’a été donnée” (3)
(1) Les Carnets, 28 janvier 1949
(2) Lettres à Mère Teresa Maria - tome 1, 16 novembre 1946
(3) Lettres à Mère Teresa Maria - tome 2, 12 février 1947

 
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